Le troisième pilier : bien préparer sa retraite

Tout le monde a envie de pouvoir profiter de ces jours si particuliers, que nous aurons tous un beau jour devant nous, à la retraite. Après avoir travaillé toute sa vie, avoir pour certains investi tout leur temps dans leurs activités et, pour d’autres, avoir pris des responsabilités importantes, tout le monde a envie de repos, mais aussi de vie familiale épanouissante, de voyages… De plus, une fois retraité, on peut prendre le temps de faire les travaux que l’on a toujours eu envie de faire chez soi, sans devoir se presser. Bien sûr, tout cela nécessite que l’on ait une retraite suffisante, pour avoir les coudées franches et pouvoir acheter tout ce dont on a besoin.

Avez-vous pensé à votre 3e pilier ?

Il n’y a jamais véritablement à s’inquiéter, pour ce qui concerne :

  • L’Assurance Vieillesse et Survivant (AVS) – puisqu’elle est obligatoire et que tout le monde y souscrit – appelé le premier pilier.
  • La Loi de Prévoyance Professionnelle (LPP) – parce que tous les salariés helvétiques y sont soumis et que les indépendants peuvent, eux aussi, financer ce deuxième pilier.

En revanche pour ce qui concerne le troisième pilier, c’est à chacun de faire le nécessaire. Il est recommandé de se poser des questions, avant de s’engager, et pourquoi ne pas utiliser un calculateur de 3ème pilier pour être sûr de pouvoir savoir à quoi l’on s’engage.

Vous avez choisi d’investir ?

Alors bien sûr ce système à trois piliers concernant la retraite des salariés suisses peut ne pas suffire, à ceux qui ont toujours envie d’en avoir plus. C’est logique : si l’on a passé des années à gagner de l’argent et à en placer, pour voir venir en cas de soucis, on peut aussi avoir envie d’investir dans un bien immobilier, afin de le mettre en location et de pouvoir arrondir la somme que l’on perçoit au titre de la retraite.